la cicatrice du flux
Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à zéro énergie psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par un sens indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, intentionnelle que tout